dimanche 31 juillet 2011

Ambition, déclaration, transfert: c’est bientôt la reprise!

Mickael Landreau, le ballon d’or de la bêtise.

La saison commence bien, en effet premier match, première polémique sur l’arbitrage! « C'est bien de délocaliser, mais il faut assumer derrière. C'est super, c'est super. On veut promouvoir, il y a un super match, des buts et tout, et l'arbitre plombe le truc" a déclaré Landreau qui donc pointe la responsabilité de la défaite sur le fait que l’arbitre ne soit pas européen.
Nous mettrons l’extrême bêtise des propos du gardien lillois sur le compte de sa déception d’après-match. Mais combien de fois faudra-t-il le répéter que quand une équipe mène 3-1 à la 85 minute et qu’elle finit par perdre par 5-4,  il s’agit d’une défaillance collective et non pas celle du corps arbitrale.
Néanmoins, ce fut la première fois que le trophée des champions nous proposa un match de grande qualité, chose relativement rare en début de saison.


Nicolas de Tavernost, l’expert du foot!

Nicolas de Tavernost a encore démontré qu’il ne comprend rien au football. En effet, il vient d’annoncer que son effectif était taillé pour la ligue des champions. Soyons clair, Bordeaux peut se retrouver sur le podium qu’à deux conditions :
-Une faillite collective d’au moins deux clubs suivants; Lille, Lyon, Marseille, Paris
- Les girondins jouent toute la saison en surrégime.
Car malgré l’arrivée d’un excellent coach, l’effectif s’est encore affaibli. Les départ de Diarra et Fernandao ainsi que celui probable de Wendel sont une perte que l’arrivée Maurice-Bellay et Nguemo ne peut compenser. Dès lors avec cet effectif, comment faire mieux que la septième place de l’an dernier?

Pastore et l’OM

Le plus gros perdant de ce transfert pourrait être l’OM. En effet car si Palerme vend Pastore, ce club penserait fortement à Lucho pour le remplacer. Car on l’a vu encore au trophée des champions, l’argentin reste un très bon joueur de Football et le vendre affaiblirait l’OM.

dimanche 17 juillet 2011

Et Leproux s’en est allé…

Le départ de Robin Leproux de la présidence du PSG est tout sauf une surprise. En effet, malgré la confirmation du maintien à son poste par le nouveau propriétaire du PSG il y a deux semaines, l’arrivée de Léonardo rendait sa position intenable. Robin Leproux était l’homme de Colony Capital et du fait de la vente du club, il était normal que le nouvel actionnaire mette ses propres hommes surtout quand il s’appelle Léonardo. Le brésilien avait fait du départ de Leproux une condition à sa venue au club. Cette demande ne s’explique pas tant par le fait que ces deux hommes ne pouvaient pas s’entendre mais plutôt par en raison des similitudes liées à leurs fonctions respectives sources de frictions.

Si il est vrai que certains supporters,  opposants inflexibles à son plan de pacification des tribunes crient victoire, il demeure néanmoins improbable que la nouvelle équipe dirigeante revienne à la situation précédente. La moyenne des spectateurs, en baisse saison dernière, devrait repartir à la hausse avec l’arrivée des qataris comme en témoigne la réussite de la campagne d’abonnement. Par contre, pour gérer le dossier des supporters, il faudra bien mettre trouver une personne autre que Léonardo car ce dernier n’a surement ni l’envie, ni le temps de s’occuper de ce dossier encombrant.

Sur le plan sportif, la présidence de Leproux peut être jugé comme satisfaisante. En effet, il a su conserver Koumbouaré malgré certaines périodes délicates sur le plan sportif. Cette volonté de continuité est tout de même un signe de qualité par rapport à l’histoire du club.  Enfin il aura remis le club sur de bons rails et le laisse dans un état sportif convenable avec des moyens limités.

Robin Leproux aura donc été le dernier président de l’ère Colony Capital… Une ère qui aura été sans saveur pour ces/ les supporters.

dimanche 10 juillet 2011

Payet, une recrue modèle?


Contrairement à ce que disent de nombreux commentateurs, le recrutement lillois, , est à ce jour inquiétant. Pour une équipe qui va jouer la Ligue des champions, elle ne s’est pas renforcée. Si l’on veut faire preuve d’optimisme elle n’a fait que combler les départs. En effet, Marko Basa n’est pas meilleure que Rami et on peut avoir le même sentiment pour Pedretti qui remplace Cabaye. Mais la plus grosse perte est certainement le départ de Gervinho qui est remplacé par Payet. Ce joueur, malgré ses statistiques, reste très irrégulier, et chose plus gênante fait preuve d’une attitude souvent déplacée. Comment se réjouir chez les Dogues d’une venue d’un joueur qui six mois auparavant avait craché sur le maillot des verts pour déclarer son amour pour le PSG? S’il s’est permis d’avoir cette attitude avec les Stéphanois, il récidivera les champions de France. Rappelons aussi que Payet s’était amusé à se battre sur un terrain avec son propre coéquipier Blaise Matuidi. Un autre point noir qui n’a pas été beaucoup relayé par les médias est le départ pour Monaco de Jean-Luc Buisine, membre de la cellule de recrutement. Faut-il voir avec le départ de ce dernier un lien de cause à effet à ce qui était dit plus haut?

dimanche 3 juillet 2011

Deux anciens et un dirigeant du PSG à l’honneur!

Anelka, une reconversion toute trouvé!
 
Après l’interview que Nicolas Anelka a donné samedi dernier à Canal plus, on ne peut plus douter, ce joueur a toute les capacités pour se retrouver dans un jeu de téléréalité. On a pu apercevoir que cette personne a l’intelligence, la maturité, la confiance en soi requise pour ce genre d’émissions. Ce qui permettra à tout le monde de mieux cerner cette fabuleuse personne aux dires de ses coéquipiers! Quelle bonheur de s’imaginer une rencontre entre Loana, Steevy et Anelka… Avec ce trio-là, Xavi, Iniesta et Messi peuvent trembler!

Calife à la place du calife?

Robin Leproux a eu cette phrase saisissante « quoi qu’il arrive je reste le patron ». Mais monsieur Leproux, vous n’avez jamais été le patron du PSG! Comment peut-on se réclamer le patron d’un club quand on n’en possède aucune part? Avant il devait toujours s’en référer à Colony Capital pour toute questions importantes comme par exemple l’enveloppe allouée pour les transferts. Maintenant il fera la même chose pour les qataris. Il est intéressant d’observer que ce délire avait touché Pape Diouf, Dassier et bon nombre de présidents mise en place par les actionnaires des clubs. A force de s’entendre appeler Président, il le pense vraiment.

Paul Le Guen, le Sinama-Pongolle des entraineurs?

La trajectoire de l’entraineur Paul Le Guen est pour le moins singulière. Le Guen entrerait dans la  catégorie des jeunes entraineurs brillants qui n’ont pas percé. Car depuis son bon passage à Rennes et ses années à Lyon couronnées par plusieurs titres, que s’est-il passé? Un passage catastrophique au Glasgow Rangers et au PSG, deux expériences qui se ressemblent car ce sont deux clubs aux passés prestigieux mais en perte de vitesse (à l’époque). Puis après un passage comme sélectionneur au Cameroun qui là aussi n’a pas été des plus brillants. Mais en Afrique, ce ne pouvait pas être de la faute d’Alain Roche... Enfin, pourquoi ce choix d’Oman alors qu’il pouvait se retrouver sur le banc à Sochaux qualifié pour la coupe d’Europe ? On préfèrera sans doute se souvenir de Le Guen joueur.